Premières parties...

Partie napoléonienne à même le sol - en mode Little Wars de Wells - entre Pilpol et Solal :

Ptain c'est beau les gars !

[Le point de vue est prussien (Sol), face aux français (Pilpol)]

Au déploiement (une unité de chaque camp après l'autre), le Prussien tente un "coup" : il a déployé ses puissantes unités régulières et toute sa cavalerie sur son flanc gauche entre 2 bras de rivière.

Une simple unité régulière, 2 unités de milice poussive et l'artillerie composent son flanc droit. Tout à été posé au fur et à mesure pour ne pas rendre trop évident le plan et comme le prussien a plus d'unités que le français, il a pu couvrir à peu près sa perfidie jusqu'à la fin du déploiement.

En face de ce flanc gauche prussien surpuissant, le français a donc été bien plus raisonnable et a donc finalement bien moins d'unités à lui opposer...

La manœuvre commence plutôt bien : le prussien a l'initiative, ses unités de son flanc gauche passent le dernier bras de rivière et déboule sur les unités français esseulées dans les bois.

C'est payant, les unités françaises cèdent et en peu de temps le prussien envahit en force les bois précédemment occupés par le français.

Son flanc droit ayant tenu, malgré son effectif maigrissime, le prussien projète maintenant d'assoir son avantage en repositionnant ses unités en surnombre pour tenailler le vil français...

Mais là, c'est le drame : c'est malheureusement un tour entier que le prussien perd (double échecs), pour le coup le français en profite et a le temps de submerger les unités fragiles laissées seules par le prussien. Les miliciens et l'artillerie se font découper.

Le français redéploie de plus son dispositif pour faire face aux unités prussiennes. La bataille glisse et le front change d'axe. Mais à ce jeu, le français utilise magnifiquement son artillerie et taille en pièces le gros de l'armée prussienne. Il reste pourtant peu d'unités aux français, mais c'est la fin pour le prussien qui n'a plus que quelques trop rares unités fortement émoussées et échaudées par les combats.

Victoire à la Pyrrhus pour le français, mais victoire tout de même !


Un résumé des règles et concepts suivra...

Solal qui après deux parties avec la même armée n’a toujours pas compris qu’il jouait une armée AUTRICHIENNE bordel

Guy toutes les photos ont été prises du côté autrichien.
La règle est facile et pourtant profonde. Il y a une aberration concernant la forêt ou la cavalerie peut charger allègrement.
Mais sinon c’est sanglant et manœuvrant.
On pourra bientôt jouer à 4

Anne Hilarion de Costentin, devrait pourtant parler à mon Guy.
Autrichiens, Sardes, Espagnols, voir Russes ressemblent beaucoup à des nains, elfes, trolls.....
Il est vrai que l'intérêt pour l'histoire c'est réservé à des gens bizarres.
Quentin tu souffres, même un peu.